Les systèmes des nations unies en Guinée, ont procédé au lancement du rapport 2018 sur les pays les moins avancés et qui s’intéresse le plus à la place de L’entrepreneuriat pumour la contribution à la transformation structurelle dans ces pays.
Ce rappport a été fait par les gens de la conférence des nations unies sur le commerce et le développement. Il a été présenté ce jeudi 22 novembre à la maison de la presse.
Selon le chef du système des nations unies en Guinée, Lionel Lorence, l’idée vise à avoir une accélération sans précédent de ces pays moins avancés s’ils veulent avoir une chance d’atteindre les objectifs du développement durable.
Et pour cela, l’entrepreneuriat est l’un des éléments important et particulier dans la transformation structurelle sous conditions.
«Il y a énormément d’obstacles qui se posent à la création d’entreprise dans ces pays qui sont liés à l’accès à l’énergie, d’infrastructures, au financement, la faiblesse des institutions et des capacités.»
Donc «ce rapport donne des recommandations au gouvernement et aux acteurs, pour pouvoir accélérer la création d’entreprise qui ne doivent pas être économiquement viables, mais des entreprises qui peuvent des impacts positifs sur la société, l’environnement qui s’inscrivent dans l’agenda d’atteindre les objectifs du développement durable.» A déclaré le cadre onusien.
À l’en croire, ce rapport sera partagé aussi avec les acteurs institutionnels de la Guinée, les ministères qui travaillent sur la question et voir comment organiser sur des discussions sur les recommandations, appuyer le gouvernement sur des actions concrètes et efficaces.
Dans ce rapport qui concerne la Guinée, des solutions ont été élaborées. Il s’agit des questions politiques qui vont permettre le développement des entreprises qui vont contribuer à la transformation structurelle.
Egalement, des questions d’accompagnement des entreprises, pour que celles ci puissent survivre, en créant de l’emploi, de la productivité augmentée, mais aussi à une valeur ajoutée plus élevée, et enfin avoir un impact positifs sur l’économie et sortir du pays de ce groupe à la traine des ceux qui sont les moins avancés.
À noter que ce rapport concerne 47 pays moins avancés qui s’investissent dans l’entreprenueriat. Et les 1/3 (un tiers) sont de l’Afrique subsaharienne.
Aboubacar Siddy Diallo pour guineemonde.com
