Depuis l’accession de la Guinée à l’indépendance en 1958, les guinéens se sont frotté les mains. Espérant, avoir un lendemain meilleur. On ne dit pas c’est le désenchantement mais on aurait pu avoir un mot mieux placé si seulement si, les attentes et l’avenir de tout un peuple étaient, à cet effet, fut comme cela se devait. Plus tard, l’espoir s’est transformé en désespoir. Et c’est cela qui continue à frapper la jeune génération qui n’avait jamais pensé être parmi de ceux qui allaient subir les conséquences d’une chose à laquelle, qu’elle n’a aucune responsabilité. Dommage.
L’histoire de la Guinée est bien vraie! Certes, elle est mal racontée
C’est une Histoire à deux visages aux yeux des jeunes. Des dits des uns et aux autres, y en a eu des beaux et de mauvais souvenir, pour cette patrie, Guinée.
Mais pour quoi, l’histoire de ce beau pays, est de nature souvent confuse pour cette nouvelle génération ?
Des historiens qui racontent sur le passé de la Guinée, il en existe trois catégories.
Primo : A ceux qui la racontent telle qu’ils le souhaitent. Car ils figuraient parmi ceux qui étaient au côté du régime d’alors. Ils le font comme bon leur semble , ce sont des amateurs des historiens.
Second : ceux qui la racontent, avec haine, parce qu’ils estiment être des victimes de l’histoire guinéenne. Ils étaient dans une idéologie farouchement opposée au premier régime. C’est des historiens haineux.
Tertio : ils ne sont pas nombreux, ceux qui restituent l’histoire comme telle. Sans haine, ni amateurisme, ces historiens, racontent, des malheureux et heureux éléments que la Guinée a connus. Certains d’entre eux sont vivant, bien sûr qu’ils sont peu.
C’est historiens qui ont vécu et qui sont de cette troisième catégorie, se méfient de se faire entendre sur la ‘’vraie’’ histoire. Comme on le dit, toutes les vérités ne sont pas bonne à dire. Alors, c’est partant de ce fait, qu’ils s’abstiennent peut être, de faire cette histoire, merveilleuse pour les uns et malheureuse pour les autres.
Aux jeunes génération, consciente, ne soyons pas, de ceux qui vont transformer l’histoire de notre temps. Soyons des gens qui racontent des faits et tels qu’ils sont, si seulement si, que cela ne porteraient pas au préjudice à notre chère patrie, qui nous est commune.
Souleymane Bah, citoyen guinéen
